Finance & transformation : identifier ses besoins

Publié le jeudi 16 novembre 2017.

finance & transformation

transformation financeLa transformation de la finance fait que le docteur Intis reçoit tous les jours des directions financières en consultation. On fait le point sur les symptômes que l’on rencontre le plus souvent…

Les directions financières sont souvent confrontées aux mêmes difficultés. Au-delà des problématiques métiers quotidiennes, elles doivent souvent faire face à des soucis d’organisation et d’harmonisation entre les différentes entités de leur entreprise et aux limites techniques de leurs outils.

Quand les entreprises atteignent une certaine taille, la volumétrie, la fiabilité, la sécurité de leurs données deviennent des enjeux primordiaux.

Quelques symptômes repérés lors de ces consultations… Avez-vous mal aux mêmes endroits ?

Patient 1

Une filiale d’un groupe consolide ses données au niveau groupe. Elle a multiplié les outils : un pour la future of financecomptabilité, un pour la facturation, un autre pour la gestion des stocks. Afin de passer à l’analyse, elle a acquis deux outils de visualisation. La gestion prévisionnelle se fait manuellement et sous bureautique.

Les indicateurs de gestion, opérationnels et prévisionnels se font manuellement sous bureautique également. Ouhlala chronophagite aigüe ? Et ça présente des risques…

De plus, les indicateurs sont exclusivement des indicateurs finance et ne sont donc pas utilisés par les opérationnels. Dommage…

Le budget n’est pas intégré aux indicateurs de pilotage. Il se fait également sous bureautique ce qui présente des contraintes pour l’analyse et la simulation.

Les besoins du patient ? Réduction des délais de clôture, pouvoir analyser le compte de résultat et le bilan, fiabiliser ses indicateurs, industrialiser la contribution, pouvoir faire des simulations, en temps réel, partagées avec tous les collaborateurs…

Eh oui, tout le monde voudrait être en bonne santé…

Patient 2

Le patient se plaint d’indicateurs obsolètes, il travaille dessus manuellement et sur des outils bureautiques. Il se plaint également de la mauvaise qualité de ses données. Le budget n’est pas intégré à ses indicateurs de pilotage.transformation finance

Il voudrait : actualiser ses outils, simplifier son plan comptable, réduire ses délais de clôture, une plateforme partagée avec un accès aux indicateurs par tous les collaborateurs, industrialiser la production de ses reportings…

Patient 3

Le patient n°3 pilote à vue, manuellement et c’est fastidieux. Il souligne des problèmes de fiabilité de l’information, des retraitements de données trop nombreux. Sa construction budgétaire est trop orientée finance : il souhaite impliquer les autres directions de son entreprise. Plus facile à dire qu’à faire, impliquer les opérations ça serait bien. Mais il y a une grande diversité dans les modes de pilotage des différentes directions. On note une forte dépendance à la direction informatique. Et ça, il aimerait bien décrocher…

Il veut : automatiser, fiabiliser, simuler, communiquer, impliquer. Guérir, quoi…

Patient 4

De son côté, le patient n°4 a un outil de pilotage en plus de son outil bureautique. Voyons s’il va mieux…

Malheureusement, pilotage dafrechute ! L’équipe s’est renouvelée et montre des signes de faiblesse dans la maîtrise de l’outil. Elle a besoin d’autonomie. De plus, elle n’a pas de documentation de formation et d’utilisation de l’outil, et la maintenance est lourde…

Il voudrait : plus de capacités, de souplesse des applications. Et standardiser les règles pour l’ensemble de ses marques…

La première étape, et peut-être la plus difficile, est d’admettre que l’on a mal. Si on ressent un inconfort, une irritation… On court chez le médecin ! Parfois, le pronostic vital de l’entreprise est en jeu !

Au mieux, il y a un manque d’efficacité, une paralysie. Quand on est en bonne santé, on ne base plus sa prise de décision sur le passé. On est prêts pour le futur.

Dans son papier « les 7 symptômes de la prévisionite », Docteur IBM met en évidence les symptômes liés aux problématiques du prédictif au sein des directions financières, établit un diagnostic et propose un remède « auto-médication ».  On découvre prochainement comment se remettre de la « prévisionite » !